Le nez qui coule ou bien...

Il y a des moments où le glamour, le vrai, l'ultime, apparaît, dans un moment de grâce.

Une personne - appelons-là "pretty woman" par égard envers ce monument du glamour que nous vénérons tous secrètement le soir dans notre salle de bain en chantant... hum je m'égare - a articulé des paroles témoignant d'une analogie entre un préservatif et un bonnet.

Je vous la fais courte : "ce bonnet il est grand comme mes capotes !". Si c'est pas la classe internationale ça. Je vous demande solennellement une demi-seconde de silence (oui, s'il vous plaît ne pouffez pas de rire tout de suite) pour immortaliser cet inégalable trait d'esprit.

Maintenant faut-il en déduire que la nouvelle mode que désire lancer pretty woman consiste à porter des capotes en laine et qu'après plusieurs essais il a effectivement les couilles qui grattent ?

Ou peut-être serait-ce la mode des bonnets en latex, visant la population très étendue des têtes de bite ?

Mais j'y pense, c'est peut-être tout simplement une nouvelle pratique sexuelle totalement underground qui consiste à trouver un nouvel usage à son appendice nasal.
Si tel est le cas, il faudra absolument lancer une campagne de prévention pour toutes les faces de cul : "Méfiez-vous des MST quand pretty woman se mouche".

Il a souvent été dit que les hommes avaient le cerveau dans le pantalon. Avec un tel slogan notre cher ami a réussi le tour de force de démontrer que parfois ils ont le pantalon dans le cerveau.